L’écureuil roux, un spécimen typique de la Grande-Bretagne diminue de moins en moins en nombre et commence même à disparaître. Cela est dû à la propagation d’une espèce gris porteur de maladie et contaminant tous les autres.
L’écureuil, en cours d’extermination
Il faut l’admettre, la race de l’écureuil britannique est sur le point de disparaître. Et pourtant, il fait partie des espèces faisant la renommée du pays. Les écureuils de l’Amérique sont les premiers atteints, et qui cependant se déplacent vers le territoire britannique à un rythme effréné en apportant avec eux la maladie. Ce qui est triste, c’est que les écureuils ravageurs ont pu franchir la réserve où sont regroupés et habitent la majorité de ces espèces. Pire encore, contrairement à ceux des États-Unis, ceux de l’Écosse sont très fragiles. Si les premiers n’ont pas du mal à se nourrir et résistent mieux au virus, ce n’est pas le cas pour le second.
Tuer pour une bonne cause
Face à cela, des mesures ont été prises : les responsables de la protection de l’environnement ont décidé de pourchasser l’espèce responsable afin de mettre un terme à la propagation et sauver le peu de vie restant de cette espèce. Pour ce faire, ils ont sensibilisé et invité la population pour la chasse. Beaucoup de personnes y ont participé, résultat : plus de 300 écureuils gris ont été tués. Cela a tout de même fait l’objet de discussion dans le pays, car beaucoup étaient contre le fait de tuer des animaux innocents. Il tenait à annoncer que s’il faisait cela, ce n’est pas par mépris des autres espèces, mais pour préserver la biodiversité du pays. Pour justifier ses actes, le responsable a annoncé que la décision était raisonnable, et que cela est fait pour une bonne raison. Il s’agit de sauver une espèce qui est sur le point d’être exterminée. Pour l’espèce grise, ils sont encore des millions comparés aux roux qui ne comptent plus que cent mille et plus.